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Bientôt Demain #5 : Ko Shin Moon + Hungu – FGO Barbara

Agathe Louis 24 janvier 2018
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Qu’est ce que “Bientôt demain” ? Un nouveau cycle de soirées dédiées à la découverte de cette nouvelle scène vivante et innovante.

© Mehdi Selmi

Hungu – Electro / Trippy / Ethnic

Portés par une envie de voyages et puisant leurs inspirations dans les musiques du monde, la musique de Hungu est imprégnée de sonorités ethniques. Les allers-retours entre leur propre culture et les cultures « d’ailleurs » leur donnent aujourd’hui toute cette richesse et cette authenticité.
Le duo utilise les machines comme des boîtes créatives et chaque titre est une histoire. Les rythmes percussifs mêlés à d’entêtantes ritournelles vocales ainsi qu’à des sons harmonieux d’instruments à cordes donnent à ce binôme singulier une aura de shamans des temps modernes.
Électronique et organique, Hungu n’a qu’une seule ambition : réunir et faire danser dans un esprit libéré.
De retour d’un premier voyage au Cap Vert, leur premier EP «Ilhas» est déjà disponible.

[embedyt] https://www.youtube.com/watch?v=mWV6XaBVmSw[/embedyt]

 

Ko Shin Moon – Synth Wave-Wolrd-Filmi

Mêlant compositions instrumentales et digitales, sonorités électroniques contemporaines, musiques traditionnelles et samples issus d’enregistrements de terrain, Ko Shin Moon brouille les frontières.
Tintement de Ghantas, rythmes de Derbukas, mélopées délicatement égrenées au Tambur Turc, au rubab afghan ou au Phin Thai la musique de Ko Shin Moon accueille un patrimoine musical et instrumental venu des quatre régions du globe. Chaudement installée dans une écoute instrumentale saupoudrée de quelques samples vocaux d’Inde, du Moyen-Orient ou d’Asie du Sud-Est, d’un instant à l’autre la lune de Ko Shin devient furieuse. Le temps d’un break, renversant l’écoute analogique dans la synthèse digitale, Ko Shin Moon transforme l’auditeur en danseur sur un acid algérien, un belly dance électrique, du psyché grec, de la disco turc, de la trap libanaise, de la dance thaïe et du shoegaze laotien.
Bande d’originale fantasmée d’un film de Bollywood, sélection éclectique des clubs malfamés d’Oran, de Kolkata, de Krungthep ou de Bagdad, ou simple rêve de deux illuminés croulant sous les synthétiseurs analogiques et les luths orientaux d’un studio, Ko Shin Moon se fait palimpseste effaçant les influences et les modes opératoires à mesure qu’il les réécrit.

[embedyt] https://www.youtube.com/watch?v=SWGayHW6GKQ[/embedyt]

[Source : Communiqué de presse]

 

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